Il faut lire les étiquettes. Il existe un label « Aliments du Québec », qui peut être appliqué à deux types de produit :
Il existe aussi un label « Aliments préparés au Québec » qui peut être utilisé si au moins 50% des ingrédients d’un produit sont d’origine québécoise et si au moins 80% des frais reliés à sa fabrication ainsi qu’aux activités de transformation et d’emballage sont encourus au Québec.
Ceci même lorsque la matière première n’est pas disponible au Québec, à condition que 100% des activités de transformation et d’emballage soient réalisées au Québec.
Ce label est facultatif, mais très important. Selon une étude toute récente faite pour le compte d’Aliments du Québec, 7 consommateurs sur 10 souhaitent pouvoir identifier plus facilement les produits du Québec en magasin.
Dans 81% des cas, ce fait deviendrait même un incitatif suffisamment important pour choisir un produit d’ici.
Madame, je privilégie toujours les produits du Québec. Et non seulement en alimentation.
Quand c’est impossible, (exemple: café, cacao, plusieurs fruits tels bananes, oranges etc.) j’essaie de trouver la mention « équitable ».
En ce qui concerne les primeurs importées je ne les achète qu’en pleine saison. Les oranges, comme exemple ne sont bonnes qu’en automne et hiver. Les clémentines à partir de décembre.
Permettez-moi de vous citer les pommes de terre. Pourquoi la production des pommes de terre du Saguenay, qui sont parmi les meilleures de notre pays, ne se retrouvent pas dans les grandes chaînes d’alimentation? Pour ne nommer que ce produit.
Il y a un travail à faire pour nous aider à manger des produits locaux. Il faut une volonté politique pour les mettre en marché et les rendre accessibles.
Bonjour Yolande,
Merci pour votre commentaire et pour vos efforts.